Ingrédients:
Recette :
Recette :
Préchauffer votre four à 180°C
Fouetter œuf et sucre
Puis ajouter progressivement beurre fondu, farine, lait et en derniers ajouter les brisures de noix ou pépites de chocolat
Verser le mélange dans un moule à cake préalablement beurré et fariné.
Enfourner 45min environ à 180° jusqu’à que le cake soit bien gonflé et doré.
Pour 4 personnes qui ont faim:
Cas du confit :
Vous obtenez alors un parmentier de confit à la polenta!
Pour 2 plats à tarte.
Ingrédients:
Recette :
Il y a autant de recettes que de villages dans le sud-ouest. Mais celle là a été testée avec de la farine de maïs rouge et a terminé 2ème au concours de la recette avec le moins d’ingrédient possible (après le verre d’eau tiède) :
Faire chauffer l’eau. Quand elle bout, à feu doux, délayer la farine. et remuer 10 min.
On peut le manger comme ça avec un plat en sauce mais c’est encore meilleur poêlé : laisser refroidi dans un plat puis faire des tranches et les faire revenir à la poêle.
Hymne traditionnel au milhàs : https://www.youtube.com/watch?v=7ceNf9qJjgc
…
Mettre à bouillir 1/2 lait avec 30g beurre, sel, muscade
À ébullition jeter en pluie semoule et fouetter vivement (voir avec polenta si même proportion) jusqu’ à épaississement ( rapide 2mn)
Quand la semoule est cuite, y mélanger 1 œuf battu, gruyère râpé ou parmesan.
Étaler sur tôle beurrée sur 2cm épaisseur.
Laisser refroidir
Puis couper des petits rectangles(3cm/5cm)ou cercles.
Rouler ds gruyère râpé
Placer ds plat à gratin ou tôle du four beurré et gratiner
Se sert avec sauce tomate en saucière.
On peut aussi les servir en bâtonnets pour apéro
Recette:
Cette recette vous permettra d’obtenir un vin gourmand et riche en saveurs, parfait pour les grandes occasions.
Incontournable, tant que, sans lui, nos existences nous sembleraient bien fades, l’apéritif fait partie de ces traditions qu’on ne questionne pas, sans pour autant connaître leurs origines… L’histoire de l’apéritif est pourtant mouvementée, à la manière des intestins de nos ancêtres pour qui il était un moyen de faire de la place avant le repas. Sur les tables des Égyptiens, une bière tiède répondant au nom d’Heneqet venait s’accorder à des dattes et fruits secs là où, sur celles des Grecs, boissons et aliments étaient consommés séparément, et où les « symposions » (réunions de buveurs) servaient à rendre honneur à certains Dieux de l’époque, à l’image de Dyonisos. Au Moyen-Âge, l’apéritif est exclusivement réservé à la Noblesse et les médecins de l’époque, les serfs, affirment que l’alcool est un remède donc la consommation est nécessaire… À croire que les lobbys existaient déjà à ce moment-là. Beaucoup pensent que le fait de trinquer nous vient également de cette époque, mais il n’en est rien et la tradition serait apparue bien avant cela, durant l’Antiquité, où trinquer permettait de renverser un peu d’alcool sur le sol, en honneur, là encore, aux Divinités. Le vin, boisson privilégiée des Nobles, se voit rejoint durant les siècles suivants par le cognac et autres boissons raffinées. Ce n’est qu’au 19ème siècle qu’on prend réellement conscience du danger que représente l’alcool, mais, trop tard, l’apéritif ne sert déjà plus à qualifier une boisson en particulier, mais ce moment que nous connaissons et chérissons si bien désormais.
Tel que nous le connaissons, le fruit à coque, riche en nutriments essentiels pour le corps humain, est le fruit de la domestication du noyer par les Perses. On trouve cependant des traces de l’arbre il y a plus de 50 000 ans en Asie mais, sauvage, il n’en résultait que des noix impropres à la consommation. En l’apprivoisant, les Perses font de la noix un aliment prisé durant l’Antiquité, dont la culture sera ensuite développée par les Romains. Le nom botanique du noyer commun européen veut d’ailleurs dire « Gland Royal de Jupiter » ! Avant qu’on en tire profit, la toxicité du juglon, une substance présente sur les feuilles du noyer, nuit cependant au bon développement des arbres environnants. Après avoir connu la gloire, le fruit et son arbre voient donc leur réputation entachée, si bien que l’origine latine du mot « noyer » est « nocere », qui signifie « nuire / abîmer ». Tout ceci n’aura pas empêché la noix de redevenir, par la suite, un classique en cuisine et de faire de l’huile qu’elle permet de produire un produit haut de gamme. Pour l’anecdote, avant d’être remplacée par le riz, on dit que la noix était lancée lors des noces : certains disent que c’était pour porter chance, d’autres disent que c’était pour couvrir les cris de la mariée…
Un vin qui a du tempérament sera nécessaire pour cette recette et un Corbières ou un Cahors fonctionneront donc par exemple à merveille. Consulter un catalogue de vin par année vous permettra de trouver une cuvée intéressante, avec une bonne structure tannique et un bon taux d’alcool.
La recette de l’apéritif aux noix :
Les ingrédients (pour 4 litres) :
5L de vin rouge
15 noix, en quartiers
1 kg de sucre
1L d’eau de vie
2 clous de girofle
1 gousse de vanille fendue
Préparation :
Laissez macérer le tout dans un grand saladier (ou une marmite) et entretenez la magie en remuant de temps à autre. Un mois et demi de patience pendant lesquelles vous conserverez le mélange dans une pièce sombre et fraîche et c’est prêt ! À servir frais, pour plus de plaisir !
Cette salade de fruits exotiques, riche en saveurs aussi suprenantes qu’irrésistibles, vous rafraîchira, en plus de vous faire le plus grand bien !
En termes de terroirs, la France est, sans conteste, l’un des pays les mieux lotis de la planète. Pourtant, même si le contraste entre le climat d’une région telle que la Bretagne et celui de la région Paca permet à nos agriculteurs de nous proposer une grande variété de fruits et légumes, nos terres ont toutefois leurs limites. Ainsi, sont qualifiés d’exotiques, les fruits ne pouvant être cultivés en France, voire en Europe dans certains cas. Parmi ces fruits, on retrouve l’incontournable banane, l’avocat, la noix de coco ou encore le kiwi… La liste est longue et contient également des fruits plus « atypiques » tels que la grenade, le mangoustan, le kaki… Chaque année, ce sont 18 kilos de fruits tropicaux qui viennent, en moyenne, fouler nos palais. Pouvant être consommés crus, on les retrouve également en sorbet, incorporés à des gâteaux ou tout simplement en salade, comme ici.
En France, c’est, sans grande surprise, la banane qui est le fruit exotique le plus plébiscité, à tel point qu’on ne le considère même plus comme tel. L’Inde est le pays en produisant le plus avec, en 2019, quelque 30.5 millions de bananes cultivées puis exportées partout dans le monde.
Vient ensuite l’avocat, majoritairement produit en Amérique du Sud et l’ananas, dont le Costa Rica est le plus grand producteur.
En fonction de vos goûts, et de vos allergies éventuelles, une salade de fruits, c’est une valeur sûre par excellence. Frais, nutritionnellement idéal, coloré… Ce dessert qui est, quand on y pense bien plus que ça tant il peut se consommer à tout moment de la journée, saura faire le bonheur de vos convives, petits et grands. Le saviez-vous ? L’expression « faire une salade » proviendrait d’un événement des plus sordides, où le serviteur d’un général romain aurait vu sa langue être réduite en morceaux, pour ensuite être jetée dans la mer… Selon les dires d’autres historiens, en revanche, le mot « salade » aurait servi à qualifier la cohabitation de différents peuples dans la région des Balkans. L’expression « raconter des salades », quant à elle, verra le jour au 19ème siècle, jouant sur le fait qu’un menteur met au point un assortiment d’arguments pour étayer son mensonge.
Pour être cohérent avec la sucrosité de votre salade de fruits, un vin blanc, moelleux de préférence, achèvera de rendre ce moment encore plus gourmand. Vous pourrez donc opter pour un Coteau du Layon, un Jurançon, ou encore un Crémant de Bourgogne si vous êtes en quête d’effervescence ! Un catalogue de vin par année vous permettra de choisir le millésime parfait pour accompagner votre salade de fruits exotiques.
Pour 4 convives, il vous faudra :
La gourmandise de ces petites confiseries viendra conclure votre repas en douceur, et des petits dés de guimauve viendront, entre autres, remplacer les traditionnels fruits secs et autres graines oléagineuses…
À l’approche des fêtes, le mendiant en chocolat fait partie de ces mignardises auxquelles on pense spontanément lorsqu’on réfléchit au menu qu’on compte proposer à ses convives, lors du réveillon de Noël ou lors de celui du Nouvel An. Composé d’un palet de chocolat, noir ou blanc, sur lequel on vient généralement déposer des fruits secs et des morceaux d’agrumes confits, son nom nous vient tout droit du Moyen-Âge. C’est en effet à cette époque que les 4 ordres religieux principaux, qualifiés d’ordres mendiants, avaient des fruits et des noix qui leur étaient associés, en référence à la couleur de leurs tuniques : les amandes coupées en deux pour les Dominicains (aussi appelés frères blancs), les noisettes et les noix pour les Carmélites (les frères marron), les figues et les baies pour les Augustins (les frères violets) et, enfin, les raisins de Malaga pour les Franciscains (les frères gris). Avec le temps, comme en témoigne cette recette, des libertés ont été prises et de nombreuses autres garnitures peuvent désormais orner les mendiants en chocolat que vous retrouvez en pâtisserie, mais pas seulement. De nombreuses chocolateries artisanales françaises en proposent à l’achat via leur site Internet, en ayant notamment recours à une agence de communication agroalimentaire.
Son nom seul suffit à nous ramener en enfance, à visualiser le drapeau américain ou encore à penser à la culture pop dans sa globalité… Bien que, dans l’imaginaire collectif, on perçoit la guimauve comme une confiserie moderne, son origine remonte pourtant loin, très loin en arrière… La plante de guimauve, l’Althae Officinalis de son nom scientifique, servait ainsi aux Égyptiens qui souffraient de maux de gorge. Cherchant à rendre le remède plus agréable en bouche, ils mélangèrent la plante à du miel et, sans le savoir, ils mettaient au point l’ancêtre de ce qu’est la guimauve d’aujourd’hui. Celle-ci est désormais composée de gélatine et de blancs d’œufs fouettés dans une mousse, à laquelle viennent ensuite se rajouter du sirop de maïs, du sucre, voire, parfois, de la vanille et d’autres arômes similaires. On ne vous apprend rien, l’intérieur d’une guimauve est fondant, le rendant ainsi collant et, pour éviter que l’extérieur le soit également, un mélange de fécule de maïs et de sucre glace vient la recouvrir. C’est d’ailleurs ce fondant qui nous fait dire d’une personne sensible qu’elle a un cœur fait de guimauve…
La recette des mendiants en chocolat à la Guimauve :
Les ingrédients, pour 12 mendiants (6 personnes) :
Au bain-marie, faites fondre le chocolat de votre choix jusqu’à obtenir une texture lisse à l’aide, si possible, d’une spatule.
Sur une plaque de cuisson, disposez du papier sulfurisé.
Faites des ronds de chocolat avec le dos d’une cuillère à soupe sur votre papier sulfurisé.
Coupez ensuite vos guimauves en petits morceaux et mettez-les de côté.
Mettez vos pralines dans un sac congélation et concassez-les.
Déposez pralines, noix et morceaux de guimauve sur vos palets de chocolat.
Pendant 2 heures, mettez le tout au congélateur.
Vos mendiants sont prêts et vous pouvez donc les déguster, puis conserver ceux qui auraient survécu à votre appétit au congélateur, dans une boîte adaptée.
Nous vous proposons aujourd’hui de gratiner les huîtres, dans le cadre d’une recette qui devrait vous faire oublier que la grisaille et le froid gagnent du terrain… Elles seront accompagnées de quelques cerneaux de noix râpés, dont le goût se mariera à merveille avec celui de ce mollusque bivalve, présent sur Terre depuis plus de 300 millions d’années… Cette recette ne vous demandera que peu de temps et d’efforts, pour un résultat qui saura néanmoins se montrer à la hauteur de votre gourmandise !
Consommée depuis de nombreux millénaires, on doit la renommée de l’huître à Sergius Ortega, un sénateur romain ayant vécu un peu av. J.-C. Brillant dans de nombreux domaines, il fait notamment fortune en imaginant des villas équipées de bains chauds, puis en profite pour créer des parcs à huîtres dans la baie de Naples. Il finira ses jours dans l’hédonisme le plus total, en dégustant ses huîtres comme tout bon Romain à cette époque : nature ou avec une sauce au poisson.
Après avoir conquis la Gaule, les Romains décident de tirer parti de ses richesses naturelles et font importer des huîtres depuis le bassin de Marennes, ainsi que depuis les côtes bretonnes et normandes. Ils installent également de nombreux viviers, ici et là, qu’ils alimentent en eau de mer et qui forment la « route des huîtres ». Conséquence de sa forme dentelée, le coquillage sera surnommé « les belles paupières » durant plusieurs siècles, jusqu’à la chute de l’Empire romain.
Aujourd’hui, le succès des huîtres est tel qu’une biotechnologie les modifiant génétiquement a été mise au point, pour pouvoir répondre à une demande toujours plus importante. Malheureusement, cette méthode est employée au détriment du cycle naturel du mollusque, bien loin de l’ostréiculture artisanale que notre philosophie nous pousse à prôner. Pour être sûr de leur fraîcheur, de leur qualité, mais également de leur naturel, pensez à vous procurer des huîtres direct producteur.
Au total, ce sont plus de 4 millions de tonnes de noix qui sont produites chaque année, soit 124 kilos toutes les secondes… 4, comme le nombre de pays se répartissant actuellement les deux tiers de la production mondiale : la Chine avec 1,7 million de tonnes, l’Iran avec 1 demi-million de tonnes, les États unis avec environ 420,000 tonnes et la Turquie, enfin, avec presque 200,000 tonnes produites chaque année. En France, la production annuelle est de 40,000 tonnes et, côté consommation, la moyenne nationale est de seulement 1 noix consommée, par semaine et par habitant. Bien trop peu quand on connaît les nombreuses vertus du fruit à coque… Si c’est leur ouverture qui vous pose problème et vous freine dans votre envie d’en consommer, sachez que vous pouvez maintenant opter pour des cerneaux de noix, sous vide et en demi ou en quarts, comme ceux proposés sur notre site.
Pour 4 convives, comptez :
La journée a été longue et votre appétit est aussi féroce que votre motivation est en berne ? Avec cette recette de toast, qui dépend en très grande partie de la qualité des produits utilisés, faites-vous plaisir sans avoir à passer des heures en cuisine !
L’histoire du pain grillé commence en toute logique avec celle du pain, il y a 14000 ans en Jordanie. Il semblerait d’ailleurs que nos lointains ancêtres fabriquaient déjà des pains plats à l’époque, sans même savoir cultiver le blé. En plus d’être un aliment de base dans de nombreuses civilisations, le pain devient une offrande de choix à faire aux dieux durant la Grèce antique. Les historiens s’accordent à dire que la capacité à faire du pain deviendra ensuite indispensable aux peuples souhaitant mettre fin à leur mode de vie nomade. On doit le pain tel que nous le connaissons aujourd’hui aux Égyptiens, qui auraient ainsi compris qu’en laissant la pâte reposer pendant un moment, elle gagnerait en volume. On leur doit également la conception du premier four fermé, utilisé pour la cuisson des pains levés presque 3000 ans av. J.-C. Pour l’anecdote, on sait désormais que les ouvriers ayant œuvré à la construction des pyramides étaient payés en pain.
Le pain plat se voit donc remplacé par le pain au levain, qui pose toutefois problème : avec la chaleur du désert, celui-ci, au bout d’un certain temps, devient dur et difficile à manger. On cherche donc à prolonger sa durée de vie et ses caractéristiques initiales… La solution, vous l’aurez compris, c’est le pain grillé.
C’est finalement à l’époque des Romains que naîtra la coutume consistant à manger du pain grillé pour se mettre en appétit et, ainsi, le mot « toast » nous vient tout droit du latin « tostum » qui signifie « brûler ».
Il est vrai que certaines recettes, nécessitant des heures de préparation, ont le don de nous faire voyager et d’émerveiller nos papilles… On en oublierait presque que des recettes simples ont ce même pouvoir, à condition toutefois d’utiliser des produits d’excellente qualité pour les réaliser. Vous l’aurez compris, celle que nous avons décidé de partager avec vous aujourd’hui fait partie de celles-ci.
Pour le chèvre, un Pélardon AOP, au parfum est à la fois doux et intense, s’intégrera à la perfection à cette recette.
Pour les ingrédients restants, des cerneaux de noix issus de nos vergers ainsi que le miel du producteur tomberont sous le sens pour compléter le tableau.
Il nous faut remonter au 14e siècle pour découvrir les origines de cette expression utilisée pour désigner une chose à laquelle nous n’accordons que peu de valeur. À l’époque, on utilise ainsi du cresson alénois dans les salades pour les rendre plus savoureuses. Le problème ? La plante est si amère qu’on l’associe rapidement à tout ce qui est mauvais et « alénois » deviendra ainsi, avec le temps, le « à la noix » que nous connaissons tous aujourd’hui.
Pour 16 petits toasts, il vous faudra :
C’EST PRÊT : BON APPÉTIT !
Note : Vous pouvez bien évidemment remplacer les tranches de baguettes par le type de pain de votre choix, voire par des biscottes si vous n’avez pas envie d’attendre, ou que vous n’avez pas de four à portée de main !
Terminez votre repas sur une note croquante et sucrée avec une tartelette aux noix et au caramel beurre salé ! Un dessert facile à réaliser et qui combine le sucré-salé du caramel beurre salé au croquant des noix, créant ainsi une harmonie parfaite en bouche.
La noix est un fruit sec apprécié pour sa richesse en nutriments, tels que les protéines et les fibres. Ces derniers permettent de maitriser le taux de sucre présent dans le sang, en atténuant de conséquence le risque de développer le diabète. Riches en oméga-3 et en vitamine E, les noix contribuent de même au bon fonctionnement du système nerveux. Les oméga-3 stimulent notamment la concentration et la mémoire, alors que la vitamine E, un puissant antioxydant, protège les cellules cérébrales contre les processus dégénératifs. Enfin, en raison de leur teneur en acides gras insaturés, les noix concourent à limiter le niveau de cholestérol ainsi qu’à protéger le coeur contre les maladies cardiovasculaires.
Le caramel beurre salé est une spécialité originaire de Bretagne. Il s’agit d’une région renommée pour sa grande production de lait. C’est pourquoi le beurre salé constitue un aliment de base dans la cuisine locale bretonne. Mais à qui doit-on la conception du caramel beurre salé ? C’est en 1977 qu’un chocolatier breton Henri le Roux, spécialisé dans le chocolat et les glaces, a inventé une recette de caramel aromatisé au beurre demi-salé. Ensuite, il a enrichi ce mélange de noix, de noisettes et d’amendes. Le caramel au beurre salé a ainsi vu le jour, rencontrant un énorme succès pour sa consistance onctueuse et son goût raffiné.
En outre, le caramel beurre salé est un ingrédient polyvalent dès lors qu’il est utilisé non seulement pour les plats, mais aussi pour parfumer des boissons chaudes, telles que du chocolat chaud.
Pour six personnes, il vous faut les ingrédients suivants :
– 250 g de farine
– 125 g de beurre
– 80 g de sucre
– 2 jaunes d’oeuf
– 1 pincée de sel
– 300 g de cerneaux de noix
– 300 g de sucre
– 400 ml de crème liquide entière
– 100 g de beurre salé
Bon appétit !
D’ailleurs, s’il vous reste des tartelettes aux noix et au caramel beurre salé que vous ne prévoyez pas de consommer dans l’immédiat, nous vous conseillons de recourir à l’emballage sous vide pour éviter que le produit s’altère. Laissez vos tartelettes refroidir, emballez-les dans un sac sous vide, et pour finir, placez-les dans le réfrigérateur et conservez-les pour un autre jour !
L’été approche et avec lui l’envie de savourer des salades se manifestera ! C’est pourquoi aujourd’hui nous avons décidé de vous proposer une recette pour préparer une salade aux endives, pommes, noix et fromage : idéale pour apporter une note de légèreté et de fraîcheur à vos repas. Très facile et rapide à réaliser, cette salade va de même apporter des nutriments à votre organisme, tels que les protéines, les fibres et les vitamines, sans négliger le plaisir gustatif. Et pour ceux qui sont à la recherche d’un repas plus complet : sublimez votre salade avec des steaks de bœuf ! Dans ce cas-là, pour un meilleur résultat, nous vous conseillons de vous procurer vos steaks auprès d’un producteur de viande vente directe.
Dans l’Antiquité, la noix était considérée comme un fruit sacré, notamment pour ses propriétés à la fois nutritionnelles et médicinales. Les Grecs avaient l’habitude de la relier à la connaissance et à la sagesse, alors que les Romains la considéraient comme un aliment précieux et s’en servaient pour la préparation de sauces, de pain ainsi que de gâteaux.
Le noyer, l’arbre qui produit la noix, est originaire d’Asie centrale et occidentale et appartient à la famille des Juglandacées, dont l’étymologie dérive du latin « Jovis » et « glans ». Ces deux mots donnent vie à « Juglans », le « gland de Jupiter ». En effet, cette désignation visait à mettre en évidence la majesté propre à cette plante, ainsi que sa caractéristique de pousser dans des endroits isolés, loin des autres espèces végétales. Cela serait dû à la juglandine, une toxine libérée par ses racines et ses feuilles, qui provoque la mort de la végétation environnante.
Appelée « nourriture des dieux », au Moyen Âge, la noix était appréciée pour sa fonction en tant que remède contre les problèmes digestifs, la toux ainsi que l’asthme. En outre, les coquilles de ce fruit étaient souvent hachées et utilisées pour soulager les maux de dents. On supposait de même que les noix étaient un puissant médicament contre les maladies mentales et les peines de coeur. De ce fait, elles étaient offertes aux personnes souffrant de dépression, glissées dans les poches des jeunes pour les faire tomber amoureux, et lancées lors des mariages pour symboliser l’union du couple et souhaiter prospérité et sagesse.
Pour quatre personnes, il vous faut les ingrédients suivants :
– 4 endives
– 2 pommes
– 150 g de cerneaux de noix
– 150 g de fromage de votre choix : Comté, Gruyère, ou bien Roquefort
– 2 steaks de bœuf
– 2 gousses d’ail hachées
– 1 cuillère à soupe de vinaigre balsamique
– huile d’olive
– sel
– poivre
Préparation :
Personnalisez votre salade en ajoutant des raisins secs, des cranberries séchées pour une note sucrée, ou bien des graines de tournesol pour apporter une touche croquante supplémentaire !
Bon appétit !5